Bonsoir Minoush,
R1 : Sur la proposition de Ioneska qui ouvre une piste à ma convenance, je vois, dans le premier rêve, l’enfant de la rêveuse se nourrir de la féminité de sa mère.
Ensuite le père récupère cela sur ce fils. Cette scène fait penser à un père immature forgé par un oedipe mal liquidé.
Ce schéma inversé se perpétue, avec le consentement de la rêveuse.
Comment s’équilibre le diagramme ?, qui porte la culotte dans cette composante ?
R2 : le début du récit montre le besoin de décompresser pour recouvrer la joie de vivre. Quel est donc le stress en cause ? Les cheveux longs sont lavés par une collègue. Dans cette image, la rêveuse passive est consentante mais fait des efforts (renouvelés) : des tentatives de remise en question (le shampooing), d’adaptation, de séduction (les longs cheveux coiffés) afin d’être acceptée, appréciée, aimée, mais en vain. Tout cela au détriment de sa nature profonde (la collègue n'est pas toi). En résulte de la frustration, c’est l’impression d’asphyxie.
Je pourrais résumer ce rêve par ton complément d’info :« une collègue que j'ai remplaceé…, je sais qu'elle a apprécié mon remplacement et la direction aussi ».
Mis bouts à bouts, ces 2 rêves semblent renvoyer aux mêmes interrogations : Ne t’égares tu pas à coté de tes pompes, pourvu qu’on t’aime ? N’es-tu pas l’instigatrice de ce tableau renversé que tu entretiens avec un partenaire adéquat ?