Introspection
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 Se jetter à l'eau

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MessageSujet: Se jetter à l'eau   Se jetter à l'eau EmptyDim 7 Sep - 8:10

J'ai fait un autre rêve qui me semble important cette nuit. Le voici avec mes commentaires

Dans mon 2e rêve, ma fille qui a 8 ans va à la piscine pour apprendre à nager. Elle n'a pas de bonnet de bain, comme les autres enfants. Je lui ai mis sur la tête un de mes foulards rose, on dirait un turban, mais me rend compte que ça va prendre l'eau. Je le lui retire donc et lui promets que je lui achèterai un bonnet de bain pour la prochaine fois.

Ma fille a peur, car elle n'aime pas l'eau. Elle est paniquée.

Je suis assise sur le bord de la piscine, G***, un internaute qui m'aide sur un autre forum est à ma droite. Je lui parle de mes rêves, et il me dit que ce sont mes angoisses qui ressortent dans mes rêves.

A ma gauche, 2 femmes sont assises. L'une est enseignante, proche de la retraite. Elle parle à l'autre femme et lui dis qu'elle a reçue une lettre bizarre venant d'un élève. Dans l'enveloppe il y avait de la poudre noire, et elle a eu peur que tout explose. Elle se moque de cet élève, et du contenu de la lettre.

Ma fille commence son 1er cour de natation. Je m'en vais. Bizarrement je me retrouve dans une piscine plus petite à côté de celle où se trouve ma fille. Je veux rejoindre l'autre bord en nageant, mais je me sens mal, j'ai des vertiges et je sens que je suis en train de couler. J'ai peur.

Je m'agrippe donc au bord de la piscine et j'avance en me tenant au bord. Je sors de l'eau et rejoins les vestiaires.

En marchant pieds nus sur le sol, je me dis que je ne voudrais pas attraper des verrues. J'arrive près d'une cabine, une ancienne douche. A l'intérieur, il y a un appareil pour tester ses verrues, vérifier si on n'en a pas attrapées, qui ne seraient pas encore visibles.

Je me dis que c'est stupide de s'attarder la-dessus et continue mon chemin. J'arrive aux vestiaires. Je pense que cette piscine est vétuste, qu'il faudrait tout reconstruire.

J'aperçois un couple, un homme assez jeune et sa femme qui est jeune aussi, mais très ridée pour son âge. L'homme me parle, il habite dans une autre région,,et me demande des explications sur la route qu'il va emprunter.

J'ai les yeux fixés sur la femme, alors qu'il me parle. Celle-ci me fait comprendre que ce n'est pas elle qui me parle, mais son mari. Je me tourne alors vers l'homme et lui donne quelques explications. Je lui dis que je ne supporte pas la grisaille du Nord.

Je sors.Ma fille est dans une voiture noire à l'arrêt, à l'arrière côté droit. Elle pleure car elle dit qu'elle a perdu son doudou. Je pense qu'elle fait des caprices.

Je regarde dans la voiture et le trouve par terre : c'est une sorte de marsupilani vert tout aplati. Je le ramasse et le donne à ma fille.

Voici ce que j'ai compris. Ma fille me représente, je crois que c'est mon enfant intérieur, autrement dit ce que j'étais enfant.

Cette enseignante c'est sans doute ma mère et l'élève c'est moi, la fille et l'adulte que je suis devenue, obéissante comme un élève. Un enseignant doit faire preuve d'autorité, cela renvoie à mon éducation autoritaire.


La lettre qui risque de mettre le feu aux poudres, c'est ce que je reproche à mes parents, je pense que cela concerne "la méthode", ces lettres que je commence à écrire à mes parents, mais que je ne leur ferai jamais lire. Je n'arrive pas pour le moment à être moi-même car je crains toujours l'explosion, comme si ma mère allait vraiment me lire


J'ai peur de l'eau, donc peur de me jeter à l'eau, parce que j'ai peur de couler. Couler ce n'est pas sombrer au sens négatif, je pense que c'est toucher le fond et lâcher prise, quand les dernières résistances partiront (un jour ça va le faire...).

Mais mes peurs sont tellement fortes que je résiste toujours et je me refuse à lâcher prise. Je m'accroche donc à mes résistances, à mes blocages, mes comportements et mes pensées obsolètes, en m'agrippant au bord de la piscine.

Les verrues, ce sont mes problèmes. Je ne veux pas m'attarder dessus, peut-être est-ce cette envie de fuir, parce que j'ai peur de revenir sur ce qui fait mal. Depuis quelques jours, j'ai des prises de conscience importantes, et je suis partagée entre l'envie d'avancer, et l'envie de fuir. Et je fais un pas en avant, un pas en arrière, ce qui équivaut à faire du sur-place

Cette femme ridée me représente sans doute, non parce que je suis ridée dans la réalité, mais elle est telle que je me vois : "moche" et ça renvoie à un autre problème, que je ne souhaite pas aborder ici sur le forum.

Le doudou est là pour rassurer. Je crois qu'à la fin, je suis en colère contre moi-même, mon enfant intérieur. Il m'énerve, m'insupporte, car il est capricieux, j'ai envie qu'il reste à sa place, là où il est, qu'il me laisse tranquille. Je ne veux pas faire remonter mes émotions car j'ai peur d'être submergée par elles, et que ça me fasse souffrir. Je ne suis pas encore convaincue que ça m'aiderait et je rationalise énormément. Mon enfant intérieur, je le vois tout recroquevillé sur lui-même, la tête baissée et je le trouve trop fragile et l'adulte pense qu'il faut être fort.

J'ai peur de lâcher prise

Finalement j'ai pleins d'idées. Le passage par l'écrit m'aide beaucoup, car au fur et à mesure, mes idées se mettent en place
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bozarchi
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MessageSujet: Re: Se jetter à l'eau   Se jetter à l'eau EmptyLun 8 Sep - 10:27

Bonjour Hirondelle,

J’ai repris ton rêve et ton interprétation:

"Voici ce que j'ai compris. Ma fille me représente, je crois que c'est mon enfant intérieur, autrement dit ce que j'étais enfant." Et celle que tu es encore (qui n’a pas grandi) et qui voudrait trouver l’amour d’elle-même et des autres, mais qui appréhende ce que la thérapie va nécessiter.

Le fakir porte un turban à connotation de croyance illusoire et douloureuse (il est sur des clous dressés) comme l’éducation religieuse qui te chapeaute encore.

« Je suis assise sur le bord de la piscine » être assis, c’est déjà se poser.
La piscine est un aménagement, une maîtrise pour contenir l’eau (de l’inconscient). L’ensemble est une approche psy.

« G***, un internaute » il représente cette première approche, effectuée jusqu’ici.

Cette enseignantec'est sans doute ma mère (C’est donc toi, aussi et surtout. Telle mère, telle fille) et l'élève c'est moi, la fille et l'adulte que je suis devenue, obéissante comme un élève. Un enseignant doit faire preuve d'autorité, cela renvoie à mon éducation autoritaire. OK, et l’autre femme, c’est aussi toi, elle représente ton « dialogue intérieur ».
En fait tu es nombreuse en toi. Je t’avais prévenu…, il va falloir ajouter des couverts !!!


« La lettre qui risque de mettre le feu aux poudres, c'est ce que je reproche à mes parents, je pense que cela concerne "la méthode", ces lettres que je commence à écrire à mes parents, mais que je ne leur ferai jamais lire. Je n'arrive pas pour le moment à être moi-même car je crains toujours l'explosion, comme si ma mère allait vraiment me lire »
Tout à fait d’accord. Ta mère squatte ta tête (par la fusion), donc elle lit dedans. C’est plus pratique, un seul chapeau pour deux, et en même temps.

« J'ai peur de l'eau, donc peur de me jeter à l'eau, parce que j'ai peur de couler. Couler ce n'est pas sombrer au sens négatif, je pense que c'est toucher le fond
(explorer l’inconscient) et lâcher prise, quand les dernières résistances partiront Quand les dernières tomberont, ce sera la fin des haricots, la fin de l’analyse (c'est un long voyage).

« Je me retrouve dans une piscine plus petite à côté de celle où se trouve ma fille. Je veux rejoindre l'autre bord en nageant, mais je me sens mal, j'ai des vertiges et je sens que je suis en train de couler. J'ai peur. » C’est l’étau qui se resserre (paradoxalement c’est celui de la liberté) Tu sais qu’il va falloir y aller « Mais mes peurs sont tellement fortes que je résiste … en m'agrippant au bord de la piscine ». OK

Les verrues, ce sont mes problèmes. (Pour faire court, ce sont des somatisations. Elles te paraissent focaliser le regard des autres, et aggravent ton mal être.) Je ne veux pas m'attarder dessus, … je suis partagée entre l'envie d'avancer, et l'envie de fuir. OK, on ne va pas remuer le couteau dans la verrue. Tu as pigé l’image, c’est suffisant.

Je me dis que c'est stupide de s'attarder là-dessus et continue mon chemin. J'arrive aux vestiaires. Je pense que cette piscine est vétuste, qu'il faudrait tout reconstruire. Confirmation, tu as compris la nécessité de reconstruire TA « maison ».

J'aperçois un couple (c’est l’équilibre potentiel de tes énergies), un homme assez jeune et sa femme qui est jeune aussi, mais très ridée pour son âge. Cette femme ridée me représente sans doute...telle que je me vois : "moche" et ça renvoie à un autre problème, que je ne souhaite pas aborder ici sur le forum. OK

L'homme (l’action, la démarche) me parle, il habite dans une autre région ( ce que tu dois faire se situe dans un autre domaine que celui qui t’était familier, ce n’est plus dans l’intellectualisation), et me demande des explications sur la route qu'il va emprunter. J'ai les yeux fixés sur la femme (la réception, la passivité), alors qu'il me parle. Celle-ci me fait comprendre que ce n'est pas elle qui me parle, mais son mari. Je me tourne alors vers l'homme et lui donne quelques explications (tu apprends le fonctionnement de la démarche thérapeutique). Je lui dis que je ne supporte pas la grisaille du Nord.

Ma fille est dans une voiture noire à l'arrêt, à l'arrière côté droit. (C’étaitsans ton coeur) toi avant, passive, triste, Elle pleure car elle dit qu'elle a perdu son doudou. Je pense qu'elle fait des caprices. Je regarde dans la voiture et le trouve par terre : c'est une sorte de marsupilami vert tout aplati.(il va falloir redonner forme et vie à ce que tu aimes et qui était à l’abandon) Le doudou est là pour rassurer (vert c’est l’espoir, le renouveau). Je crois qu'à la fin, je suis encolère contre moi-même, mon enfant intérieur. Il m'énerve, m'insupporte, car il est capricieux, j'ai envie qu'il reste à sa place (c’est encore ta mère qui s’exprime, au travers de toi)
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MessageSujet: Re: Se jetter à l'eau   Se jetter à l'eau EmptyLun 8 Sep - 11:40

Merci Bozarchi,

Voici mes commentaires. Pour l'autre rêve, ça va suivre.

Oui j'appréhende ce que la thérapie va nécessiter, parfois je me dis que c'est au-dessus de mes forces.
Mon éducation religieuse me colle à la peau

Tu dis que cette enseignante c'est moi : telle mère-telle fille et là ça me met en colère, désolée pour ma spontanéité. Je ne suis pas autoritaire avec mes enfants, mais je suis autoritaire, dure avec moi-même. C'est peut-être cela que tu as voulu dire ??
Je sais que j'ai transmis mes névroses à mes enfants, malgré moi, et je l'accepte, même si c'est difficile, mais je n'ai pas reproduit le même schéma que mes parents avec mes enfants pour l'autorité. J'ai su m'en éloigner complètement. Oui parfois, mes enfants m'agacent et c'est normal, mais ma colère je le retourne contre moi. Je ne ferai pas de mal à mes enfants.

Mais j'ai transmis mes angoisses à mes enfants.

Pour les verrues, j'ai compris ce à quoi tu faisais allusion.

Reconstruire ma maison ne sera pas facile, car que je le veuille ou non, je ne peux pas tout raser, je suis bien obligée de conserver la base, et là ça renvoie à mes parents. Même lorsque je serai apaisée par rapport à mon passé, je ne pourrai pas oublier. Mais je pourrai y penser sans ressentiment, en me sentant libérée par rapport à mes parents.

Bozarchi, si je pouvais oublier, si tu savais comme j'aimerais, mais je sais bien que c'est impossible.

Pour finir Bozarchi, tu as raison quand je suis en colère contre mon enfant intérieur, c'est ma mère qui s'exprime à travers moi, je suis toujours dépendante d'elle. Elle jouait sur 2 registres : la séduction (si tu obéis, je suis contente) et la culpabilisation (si tu désobéis, si tu n'arrives pas à faire ce que je te demande, je suis triste et fâchée). Et ma mère disait de moi que je faisais des caprices, elle continue à le dire quand elle évoque des souvenirs de mon enfance en disant que j'étais capricieuse, pot de colle, toujours malade, anorexique à la naissance de ma soeur., insomniaque... Elle dit que je les réveillais 10 fois par nuit,pour se déresponsabiliser. La coupable c'était moi, la "chiante". Et voilà que ça me remet en colère tout ça.

Merci Bozarchi et pardonne-moi si j'ai ressenti de la colère pour ta phrase : "telle-mère-telle fille". Au fond, ça me déplait de ressembler à ma mère par certains côtés. Je pense notamment à mon anxiété qu'elle m'a transmise et que j'ai transmise à mes enfants. Et je n'arrive pas à me débrasser de cette culpabilité.
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MessageSujet: Re: Se jetter à l'eau   Se jetter à l'eau EmptyMar 9 Sep - 5:13

Bravo hirondelle, enfin une giclée de colère, enfin un bout d’émotion qui se libère !

J’aurais préféré sans la pommade "excuse" dessus, mais c’est bien (c’est encore inévitable).

Justement dans ce cas, cette émotion, c’est ce qui t’appartient. Elle est provoquée par un sentiment d’injustice
(face à mes propos) chez la mère exemplaire que tu es (ce dont je ne doute pas un instant).

Cette mère a tellement souffert de ce que ses parents lui ont imposée, qu’elle s’est arc-boutée de toutes ses forces, de toutes ses tensions, pour élever ses propres enfants sur le modèle opposé.
Hors, le modèle initial ne t’appartient pas. Il appartient à tes parents. Mais il reste actif en toi et provoque une tentative de rejet permanent aussitôt refoulée.

Que tu ailles dans le sens de tes parents ou en sens inverse, le problème est que c’est encore par rapport à ce repère que tu t’orientes (pour l’instant).

Progressivement, tu retrouveras au fond de toi ce que tu aimes, et les actes que tu poseras seront naturellement à ton image.

Les flamands sont rose, parce qu’ils mangent des crustacés rose. Si ils mangaient des épinards pour être aussi costauds que Popeye, ils seraient verts.
Quelle est la vraie couleur d’une hirondelle ???
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MessageSujet: Re: Se jetter à l'eau   Se jetter à l'eau EmptyMar 9 Sep - 8:30

Bonjour Bozarchi,

Oui, c'est ce que j'ai ressenti de l'injustice, comme si tu portais un attaque sur mon rôle de mère et je suis très chatouilleuse sur ce sujet. Je sais bien que tu ne m'attaquais pas, mais ça m'a mis sur la défensive, parce que je ne veux pas ressembler à ma mère.

Tu as en parti raison dans ce que tu écris, mais pas à 100 %

Pour commencer, je ne suis pas une mère exemplaire, ce serait impossible. Je fais au mieux, et là en écrivant ces mots, je pense que ma mère a fait aussi au mieux. C'est ce qu'elle me dit souvent. Et ma colère revient. Car si le mieux, c'est ce que j'ai vécu, c'est quoi le pire ? Etre enfermée dans un placard et battue ?

C'est vrai que je m'oppose constamment à ma mère, à ses idées. Systématiquement j'ai envie de faire le contraire de ce qu'elle me demande, même quand elle a de bonnes idées. C'est plus fort que moi. Et là encore je ne suis pas libre, je suis une Autre, car je ne réagis pas en fonction de ce que je pense, de mes apirations, mais de mes rancoeurs. Mon ressentiment envers ma mère est tellement fort, que je rejette tout ce qui vient d'elle, le bon comme le mauvais. Même ses baisers m'insupportent. Je ne veux pas qu'elle me touche.

Je suis intransigeante, pas libre dans mes réactions guidées par ma colère.

Etre libre par rapport à ma mère, ce serait être moi-même, et non telle que ma mère voudrait que je sois. Ce serait oser dire non, quand c'est nécessaire, calmement et fermement, mais sans pour autant tomber dans l'extrême inverse. Actuellement, face à ma mère je suis souvent soumise, avant j'explosais de colère, puis j'ai fini par baisser les bras et choisir d'éviter les conflits. Et ça arrange bien mon mari, car il a peur des réactions de ma mère.

Mais je m'oppose à ma mère dans ma manière d'être, dans mon éducation, enfin en partie.
Ma mère était une maniaque de l'ordre, du rangement et de la proprété. Je suis devenue "bordélique". C'est le mot qui convient. Le désordre finit par me déranger au bout d'un certain temps, mais je n'aime pas ranger.

Et je suis très laxiste avec mes enfants par rapport au rangement, ce qui commence à me poser des problèmes.Mes enfants ne rangent pas facilement leurs affaires et c'est mon mari qui les oblige à le faire. Moi je râle mollement, pour la forme et je n'obtiens pas grand-chose.

Je suis aussi laxiste avec mes enfants dans un autre domaine, mais je ne peux pas en parler sur le forum

En revanche je sais faire preuve d'autorité dans les autres domaines, ni trop ni pas assez. Là je ne ressemble pas à ma mère, je n'ai pas reproduit le schéma familial, et je ne suis pas non plus dans l'extrême et là j'en suis convaincue.

Le point noir c'est mon anxiété, et ma peur que mes enfants échoeunt à l'école, tout comme mes parents avaient peur pour moi. Mais je ne mets pas la pression sur mes enfants pour autant

Merci Bozarchi pour tes commentaires, tu m'aides à progresser
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MessageSujet: Re: Se jetter à l'eau   Se jetter à l'eau Empty

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