Bonsoir koko,
Pourquoi faire simple lorsqu’on peut faire compliqué ?
Chacun de nous est une cohabitation de nombreux personnages. Des rôles variés leur sont réservés.
L’un est notre protecteur qui surveille l’alcootest et les radars par exemple. C’est notre Sarko intime.
L’un des principaux est l’enfant. Très vulnérable, il nous nous coûte beaucoup, non pas en couches-culottes, mais en protection, en raison de la nostalgie du temps où on avait le gîte, le couvert, les câlins et le reste sans lever le pouce.
Le temps passe, les emmerdes débarquent en escadrilles et nous obligent à resserrer les rangs, à revisiter nos stratèges, et à faire des plans sociaux pour restructurer nos troupes. C’est l’adaptation. L’évolution. C’est mon explication de tous ceux qui vont disparaître dans ton rêve.
Tu « sais que ce sont mes amis (dans le rêve) , mais je ne les connais pas ( dans la vrai vie ) » Pourtant, c’est toi qui hébergeait (en toi) jusqu’ici ces amis. Mais dans l’ombre des profondeurs de ton inconscient, à l’abri des regards où jamais tu ne les as identifiés.
Pas besoin d’être coupable pour se sentir coupable.
Le juge suprême qui ferme le bal dans ton rêve, c’est aussi un des responsables majeurs parmi les personnages qui nous freinent. C’est l’épée de Damoclès.